En plein mois d'août la communauté de communes de Loire et Sillon communique sur les ordures ménagères !
En plein mois d'août la communauté de communes de Loire et Sillon communique sur les ordures ménagères ! Effet de notre pétition ? Mais c'est surtout pour afficher un bilan d'auto-satisfaction pour l'année 2015. Certes la réduction d'ordures ménagères a-t-elle été "notable", mais l'origine en est entièrement attribuée au service et à ses évolutions techniques couteuses (GPS pour optimiser les tournées, à quand la chasse aux bacs-Pokémons ?).
Avec un aveu, c'est bien l'ADEME qui mène la danse. Le but avoué est donc surtout d'être parmi les 1ers de la classe de l'ADEME, beaucoup moins d'offrir un bon service au moindre coût pour les usagers. Or ils sont très mal payés de leurs réels efforts. Car si nous trions plus, nous savons bien, facture après facture, que nous ne payons pas moins, malgré toutes les promesses faites.
Pas un mot sur la méthode utilisée pour atteindre ce résultat, à savoir la forte augmentation des abonnements et des levées. Quelques signes en bémol devraient cependant interroger - en dehors des 1.500 signatures sur notre pétition - comme l'envol du "taux de refus" (30% en 2015) qui traduit plus un ras-le-bol qu'une "incivilité". Non, entre autosatisfaction et grand silence sur les dysfonctionnements, le bilan n'est pas si glorieux.
Avec un aveu, c'est bien l'ADEME qui mène la danse. Le but avoué est donc surtout d'être parmi les 1ers de la classe de l'ADEME, beaucoup moins d'offrir un bon service au moindre coût pour les usagers. Or ils sont très mal payés de leurs réels efforts. Car si nous trions plus, nous savons bien, facture après facture, que nous ne payons pas moins, malgré toutes les promesses faites.
Pas un mot sur la méthode utilisée pour atteindre ce résultat, à savoir la forte augmentation des abonnements et des levées. Quelques signes en bémol devraient cependant interroger - en dehors des 1.500 signatures sur notre pétition - comme l'envol du "taux de refus" (30% en 2015) qui traduit plus un ras-le-bol qu'une "incivilité". Non, entre autosatisfaction et grand silence sur les dysfonctionnements, le bilan n'est pas si glorieux.
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