Premier rappel : au début des années 2000 il y avait dans les communes de Loire et Sillon des gros bacs pour les sacs poubelles, libres d'accès, à tous les coins de rue et dans tous les hameaux. C'est la commune de la Chapelle Launay qui les a supprimés en premier en instaurant les sacs bleus transparents.
Puis, une fois la communauté de communes mise en place, ce principe a été généralisé et tous les conteneurs collectifs en libre accès ont été enlevés. Il fallait que « l’Ambassadeur du tri » puisse contrôler de visu ce que les gens mettaient dans leurs sacs bleus, pour mieux les chapitrer à ce sujet à partir du Guide du tri sélectif.
En fait, rien ne devait échapper à la facturation individualisée des usagers au nom du principe "pollueur payeur". D'où le contrôle des entrées en déchetteries (Savenay et Campbon) et l'instauration de la Redevance incitative avec des bacs individuels pucés (pour facture à la levée), et la mise en place des éco-points pour les petits emballages, le verre et le papier.
Tout cela, ce sont des choix qui n'ont été établis que dans le cercle restreint des décideurs (élus, services) sûrs de leur fait, et pour "le bien des usagers" qui, eux, n'ont pas été consultés.
Jusqu’en 2015, tout était financé par la TEOM (taxe d’enlèvement des ordures ménagères) qui, les dernières années, générait un excédent d’environ 300.000 € par an.
Aujourd'hui, les dysfonctionnements des choix effectués alors sont évidents et ne peuvent pas être attribués aux seules "incivilités".
La facturation au prix fort (barème 2016) sous la Redevance incitative, à généré en 2016 un excédent de 700.000 € dans le budget annexe des déchets ménagers de l'ex-communauté de communes de Loire et Sillon.
En 2017, avec le mécontentement qui s’est exprimé l’année dernière à partir de la pétition Libérez nos poubelles (1.600 signatures) il est plus que temps pour les nouveaux dirigeants d'Estuaire et Sillon de remettre tout ça à plat, dans la transparence et la consultation.
Puis, une fois la communauté de communes mise en place, ce principe a été généralisé et tous les conteneurs collectifs en libre accès ont été enlevés. Il fallait que « l’Ambassadeur du tri » puisse contrôler de visu ce que les gens mettaient dans leurs sacs bleus, pour mieux les chapitrer à ce sujet à partir du Guide du tri sélectif.
En fait, rien ne devait échapper à la facturation individualisée des usagers au nom du principe "pollueur payeur". D'où le contrôle des entrées en déchetteries (Savenay et Campbon) et l'instauration de la Redevance incitative avec des bacs individuels pucés (pour facture à la levée), et la mise en place des éco-points pour les petits emballages, le verre et le papier.
Tout cela, ce sont des choix qui n'ont été établis que dans le cercle restreint des décideurs (élus, services) sûrs de leur fait, et pour "le bien des usagers" qui, eux, n'ont pas été consultés.
Jusqu’en 2015, tout était financé par la TEOM (taxe d’enlèvement des ordures ménagères) qui, les dernières années, générait un excédent d’environ 300.000 € par an.
Aujourd'hui, les dysfonctionnements des choix effectués alors sont évidents et ne peuvent pas être attribués aux seules "incivilités".
La facturation au prix fort (barème 2016) sous la Redevance incitative, à généré en 2016 un excédent de 700.000 € dans le budget annexe des déchets ménagers de l'ex-communauté de communes de Loire et Sillon.
En 2017, avec le mécontentement qui s’est exprimé l’année dernière à partir de la pétition Libérez nos poubelles (1.600 signatures) il est plus que temps pour les nouveaux dirigeants d'Estuaire et Sillon de remettre tout ça à plat, dans la transparence et la consultation.
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