Quelle évolution du "service public" des Déchets en Estuaire et Sillon ? Pendant la trève momentanée des factures, qui reviendront de plus bel début 2019, incluant des surtarifications du service sur les usagers, des choix s’opèrent quant à la nature même du service.
Certes "l'harmonisation de l'institution de la redevance incitative", derrière le nom ronflant de "SPIC" (service public industriel et commercial) se cache-t-elle derrière l'étiquette de "Régie".
Mais étant dotée d'une "autonomie financière" cette Régie de service public de "collecte et d'élimination des déchets ménagers et assimilés" confisque les choix d'orientation de la compétence au profit d'un cercle étroit d'élus communautaires et municipaux (voir la liste dans l'article).
Au moins savons-nous vers qui diriger l'expression de notre mécontentement à propos des tarifs, barèmes et facturation, même s'ils semblent tous acquis à de telles orientations, les ayant avec zèle mises en place et en oeuvre depuis quatre ans.
A quoi bon l'étiquette de Régie publique, si sous son couvert ce sont les mêmes orientations de logique d'excédents budgétaires (1.2 M. d'€ cumulés avoués) sur le dos des usagers qui continuent de prévaloir. Avec la sous-traitance du service par morceaux et lots au privé ?
Mais cela ne suffit pas : la communauté de communes doit programmer une RÉUNION PUBLIQUE sur cette question des déchets, des modalités de leur ramassage et de leur facturation aux usagers.
Certes "l'harmonisation de l'institution de la redevance incitative", derrière le nom ronflant de "SPIC" (service public industriel et commercial) se cache-t-elle derrière l'étiquette de "Régie".
Mais étant dotée d'une "autonomie financière" cette Régie de service public de "collecte et d'élimination des déchets ménagers et assimilés" confisque les choix d'orientation de la compétence au profit d'un cercle étroit d'élus communautaires et municipaux (voir la liste dans l'article).
Au moins savons-nous vers qui diriger l'expression de notre mécontentement à propos des tarifs, barèmes et facturation, même s'ils semblent tous acquis à de telles orientations, les ayant avec zèle mises en place et en oeuvre depuis quatre ans.
A quoi bon l'étiquette de Régie publique, si sous son couvert ce sont les mêmes orientations de logique d'excédents budgétaires (1.2 M. d'€ cumulés avoués) sur le dos des usagers qui continuent de prévaloir. Avec la sous-traitance du service par morceaux et lots au privé ?
Mais cela ne suffit pas : la communauté de communes doit programmer une RÉUNION PUBLIQUE sur cette question des déchets, des modalités de leur ramassage et de leur facturation aux usagers.
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